[Entraînement] Perdre du poids par l'exercice physique

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Citation :
Publié par Korbier_tkt
je persiste sur ma valeur minimale de 100g pour soutenir une activité thyroïdienne suffisamment élevée?.
C'est une réflexion perso ou scientifique ?

Parce que les hormones thyroïdienne sont hyperglycemiantes en fait. Elles favorisent l'absorption intestinale de glucose. Donc je cerne mal ton propos. Si tu peux expliquer stp
Je poste ici pour avoir des précisions de la part des pros de la muscu JoLiens ( après m'être gouré une fois de topic ).

J'ai 17 ans, je pèse 69/70 kilos mais j'aimerai bien retourner à 65. Pour y arriver je pensais à un programme mais je sais pas s'il est viable.
Je pensais en effet à aller courir 3 à 4 fois par semaine, mais j'ai peur que d'aller courir autant de fois d'entrée de jeu me grille complètement. Je fais de la natation depuis 10 ans + saxophoniste depuis 10 donc pour tout ce qui est souffle, il n'y a pas vraiment de problèmes je pense, c'est surtout pour les jambes.

Et après à propos de courir en lui même, afin de perdre du poids, le fractionné est il plus adapté à cet effet ?

Après je pense que mon plus gros boulot est sur le plan de la nourriture : je suis une goule à sucre, je suis un habitué des bons petits plats cuisinés et il est vrai que psychologiquement, j'ai du mal à me passer du plaisir de bien manger, mais si j'ai un début de programme, ça me motivera.
Note: En fait le but de ce File est principalement de démonter cette idée trop souvent rependue que pour perdre du gras il faut courir longtemps. En aucun cas je prétend vous donner un programme d'entrainement pour perdre du poids, ni un régime diététique à suivre.
Ceci est un autre histoire à laquelle la solution miracle n'existe pas (ca.98% des personnes obèses perdant du poids l'on retrouvé après 5 ans)


Citation :
Publié par Korgana.
Mais c'est quoi ces histoires de % au juste. Et comment tu base ça sur le rythme cardiaque ? Il peut y avoir des différences entre individu non ?

Parce que perso, je suis autour de 60 bpm hors effort, et impossible de monter a 175, même en tapant un sprint de 500m je monte pas au dessus de 150.

(genre, ça va ce voir que je suis arrivé là par hasard je crois)
Exactement, mais tu n'as pas du tout lire. comme écrit plus haut le 100% = 220-âge +ou- 10 bpm selon les individus.
As-tu déjà fait ton sprint après 30-50 minutes d'effort? Perso je suis à 50 bpm au repos et je monte à 195 après l'échauffement quand on commence les sprints (unihockey/foot). Ensuite j'oscille entre 170 et 190.

Citation :
Publié par Zdravo, le Petit
On peut avoir les publications ?

De même, tu parles du système basal : Ok... mais depuis quelques années, le NEAT (non exercise activity thermogenesis) est souvent mis en avant dès que l'on parle de la perte de poids/exercice. C'est un facteur unique à chaque personne. Ce serait intéressant, à mon avis, de compléter avec ces éléments
Pour les publications le problème est que leur accès est payant mais comme tu es biologiste t aura surement accès. Y a la référence de l'étude en question. Le reste se trouve à la pelle, c'est assez vieux comme connaissances.

Citation :
Publié par Faust de Nerval
C'est une réflexion perso ou scientifique ?

Parce que les hormones thyroïdienne sont hyperglycemiantes en fait. Elles favorisent l'absorption intestinale de glucose. Donc je cerne mal ton propos. Si tu peux expliquer stp
En fait si tu n'as pas assez d'apport en général et de glucides en particulier ton corps enclenche le mode "survie" et réduit ton métabolisme, un des mécanisme est la diminution des hormones thyroïdiennes. un autre exemple est l'absence d'ovulation et de règles chez la femmes. Par contre le 100g je ne sais pas d'où il vient, si t'as une source Korbier, je suis preneur.

Citation :
Publié par Am'
Je poste ici pour avoir des précisions de la part des pros de la muscu JoLiens ( après m'être gouré une fois de topic ).

J'ai 17 ans, je pèse 69/70 kilos mais j'aimerai bien retourner à 65. Pour y arriver je pensais à un programme mais je sais pas s'il est viable.
Je pensais en effet à aller courir 3 à 4 fois par semaine, mais j'ai peur que d'aller courir autant de fois d'entrée de jeu me grille complètement. Je fais de la natation depuis 10 ans + saxophoniste depuis 10 donc pour tout ce qui est souffle, il n'y a pas vraiment de problèmes je pense, c'est surtout pour les jambes.

Et après à propos de courir en lui même, afin de perdre du poids, le fractionné est il plus adapté à cet effet ?

Après je pense que mon plus gros boulot est sur le plan de la nourriture : je suis une goule à sucre, je suis un habitué des bons petits plats cuisinés et il est vrai que psychologiquement, j'ai du mal à me passer du plaisir de bien manger, mais si j'ai un début de programme, ça me motivera.
Combien de fois par semaine tu fais de la natation? cb de tps? Donc tu es en forme déjà?
Je suis de loin pas expert en programme d'entrainement, mais je me renseigne.
Voici un site pas mal, lié au STAPS de Dijon, où ils parlent du fractionné et autre.
Au feeling à ta place je commencerait comme ça:
1ère semaine: 3 courses tranquille (en dessous de 80%) de 20, 30 puis 40 minutes histoire de remettre la machine dans le bain.

puis: 3x semaine, avec avant 10 minutes d'échauffement à 60%

1x continue à 85-90% pendant 30 (puis 40 puis 50) minutes

1x continu à 70-80% pendant 50 (puis 60 puis 70) minutes

1x fractionné 20 à 30 minutes. Après à toi de voir comment tu veux fractionner, personnellement je le fait jamais en course je trouve ça trop contraignant, autant faire un sport d'équipe...
Du peu que je sais:Il faut fractionner sur de courtes distances, genre 100 mètre et pas 10 minutes, ça n'a pas de sens. Pour le fractionné tempo endurance c'est temps de récup=temps de course et sprint: récupe = 2xtemps de course.


Bon je crois que finalement e vais l'ouvrir ce topic course à pied.
Citation :
Combien de fois par semaine tu fais de la natation? cb de tps? Donc tu es en forme déjà?
Je fais 1h30 de natation par semaine où je nage entre 3 et 3.5 kilomètres, et je fais du saxophone au moins 2 3 heures par semaine ce qui me permet de garder un entretien au niveau du souffle. Donc ouai je pense être en forme déjà ^^

Merci pour ton petit programme donné au feeling
Citation :
Publié par Garith
J'ai appris quelque chose. Merci beaucoup.

Si j'ai bien compris, mes sessions (allant de 60 à 90 minutes) de cardio à la fréquence de 60% aurait pû être remplacer par des sessions plus intense, plus courte et avec un meilleur rendement.

Damned, tu aurais fait ce post 3 mois plutôt, ça m'aurais arrangé!

Non pas du tout, il faut continuer comme ça.

W
Citation :
Publié par TraJon BiancoNero
Note: En fait le but de ce File est principalement de démonter cette idée trop souvent rependue que pour perdre du gras il faut courir longtemps. En aucun cas je prétend vous donner un programme d'entrainement pour perdre du poids, ni un régime diététique à suivre.

C'est bien dommage de poster un bon condensé de physiologie de l'exercice et poster quelques lignes plus tard des bêtises de ce genre.

Une bonne fois pour toute la meilleure manière de brûler les graisses est d'effectuer un effort modéré à 50 % jusquà grand maximum 70% de sa FC max pendant plusieurs heures. Le meilleur exercice reste quand même le vélo pour "brûler"pendant plusieurs heures. La course à pieds est très bien aussi mais trop traumatisante sur la durée, on ne peut pas courir (4heures de suite comme on le ferait en vélo)

W
C'est dommage de ne pas lire la suite, de n'être pas à jour et d'être borné.
Pour bruler des graisses oui, pour perdre de la graisse NON.

"W" c'est sensé signifier quelque chose?
Citation :
Publié par TraJon BiancoNero
C'est dommage de ne pas lire la suite, de n'être pas à jour et d'être borné.
Pour bruler des graisses oui, pour perdre de la graisse NON.

"W" c'est sensé signifier quelque chose?
Je suis pas sur que tu sois le mieux placé de nous 2 pour te permettre de dire ce genre de choses, mais je ne suis pas là pour étaler mon CV professionnel...

J'aimerai que tu m'expliques clairement en quoi on perds du poids(graisse) plus efficacement au delà des 70% de FC Max sachant qu'au delà de 20 minutes d'exercices de 55 à 70% de FC c'est quasi intègralement la voie métabolique lipidique qui entre en jeux.
Il faut savoir qu'au delà des 75% selon les individus, on est en voie à dominante glucidique( intra musculaire,sanguin, néo-glucogènese...) et on sollicite bien moins longtemps la voie lipidique surtout à des intensités supérieures à 80/85% selon les individus car on ne peut pas tenir l'exercice aussi longtemps à cette intensité qu'en étant de 50% à 70% de FC max.Pour résumer, à 80 % tu utilises beaucoup de glycogène et dérivés et tu tiens l'"effort" moins longtemps donc au bout du compte tu n'auras pas utilisé tant d'acides gras que si tu avais fait une séance bien plus longue et à allure modérée.

Donc en terme de "puissance énergétique", on "consommera" certes,bien plus d'ATP au delà des 80 % qu'entre 50 et 70% de FC max mais en revanche cet ATP ne sera pas issu en majeure partie de acides gras issus des graisses mais sera surtout constitué de glucose ou glycogène contrairement aux exercices entre 50 et 70% de FC max.

Le plus important dans cette histoire est de savoir de quelle source est issue l'ATP qui est consommé.

CQFD

W
Citation :
Le plus important dans cette histoire est de savoir de quelle source est issue l'ATP qui est consommé.
Au contraire, le plus important est d'induire l'effet anorexigène par activation du système nerveux sympathique... Une étude récente ainsi que ses références se trouve dans le poste initial. Si tu as des données encore plus récentes comparant les deux approches ça me ferait plaisir que tu nous présente.

N'oublie jamais que quel que soit ton CV ça ne change rien aux connaissances possible de ton interlocuteur. Un Professeur en Endocrinologie spécialisé dans les hormones sexuelles reconnaissait avoir parfois moins de données en tête que ses patients haltérophiles se piquant à la testostérone. Il faut savoir rester humble devant l'immensité de notre ignorance.
Talking
Citation :
Publié par TraJon BiancoNero
Au contraire, le plus important est d'induire l'effet anorexigène par activation du système nerveux sympathique...

Sachant que tout part de du système nerveux/hormonal je ne vois pas en quoi tu me démontres le contraire.
ça ne réfute en rien ce que j'ai énoncé auparavant mais au contraire car c'est de ce système sympathique que l'organisme adapte les voies métaboliques.

Pour revenir au sujet, je te conseille de réviser un peu tout ce dit sur le fonctionnement des mitonchondries ainsi que sur leur multiplications et leurs effets PRIMORDIAUX lors de séances réalisées de 50 à 70% de FC max(séance longue et à allure modérée)parce que tu sembles un peu bloqué sur le système hormonale.
Tu te rendrais compte qu'à des allures plus élevées, ce n'est pas ou plus suffisamment le métabolisme des lipides qui va créer de l'ATP et que par conséquent ce qui sera brûlé sera soit du glucose sanguin, soit du glycogène musculaire ,soit le résidu de la néoglucogénèse.C'est à dire que faire des séances de fractionner ne mobilisera pas ou peu d'acides gras issus des graisses stockées dans le corps mais quasiment que le métabolisme glycolitique.
Dans ce cas je ne vois vraiment pas comment tu peux prétendre dire qu'on peut maigrir plus facilement en faisant du fractionné ou en augmentant substantiellement l'intensité, d'autant plus qu'une séance de fractionnée sera obligatoirement plus courte car plus difficile et exigeante qu'une séance longue à allure modérée.

Moi j'en connais plus d'un qui va se poiler à l'INSEP au labo de physiologie de l'exercice quand je vais leur énoncer un truc pareil.
Avec ta théorie complètement bancale, on assiste à une remise en question de la base de toute entraînement visant la performance sportive qui revient à dire" On arrête de travailler en endurance de base sur des séances de course à pieds longue on fait la même chose en faisant du fractionné dès la reprise!!"
Franchement en étant sérieux 2minutes, tu penses vraiment que oublier la base de l'endurance avec toutes les transformations physiologiques que ça implique sur l'organisme sur la voie métabolique lipidique ainsi que sur l'optimisation des graisses à leur paroxysme c'est crédible?????
Si tu me contredis ça c'est que tu n'as VRAIMENT RIEN COMPRIS à rien et là vient une 2ème poilade en perspective non seulement avec le labo de physiologie mais également à l'entraînement avec mes camarades triathlète d'une équipe dont je tairai le nom.

J'ai comme l'impression que tu as écrit tout un tas de chose sans vraiment les avoir comprise ou même en ne retenant qu'une partie de ces choses en oubliant de les remettre dans leur contexte global ce qui revient à ce que tu pondes des inepties sans queue ni tête. A croire que tu ne sais vraiment pas ce que signifie un "effet anorexigène"

Tirer une conclusion sur le seul effet anorexigène est vraiment trop hâtif et tu en oublies toutes les conséquences sur les vérités déjà 1000 fois prouvées sur l'utilisation des voies lipidiques pour maigrir.

Vérités que tu as toi même en partie démontré avec un graphique tiré d'une des nombreuses études et qui illustre parfaitement ce que je viens de te démontrer à l'instant.


Amicalement, bonne révisions

W
Encore une fois ta vision du corps humain se limite à la cellule. Tout ce que tu dis est vrai mais ne représente qu'une partie de l'équation.

-N'oublies pas que le cerveau est l'ultime responsable de la sensation de faim.
-Que le tissu adipeux est un tissu vivant et actif non pas un tissu mort que l'on devrait réveillé.
-ta méthode se limite à optimiser l'utilisation des graisses sans tenir du contexte hormonal de l'ensemble du corps.

Une personne appliquant ta méthode se retrouve en fin de séance avec un corps légèrement stimulé bien que les muscles soient fatigués. Il n'y a quasiment aucune élévation des hormones de stresse ni excitation sympathique....ça signifie quoi pour le cerveau? Que le corps a perdu de l'énergie mais n'es aucunement en danger et peut donc tranquillement se consacrer à la prise alimentaire.
Google "modèle bio-psycho-social" et sors de ton labo


Et tes triathlètes ne font pas parti des sujets visés, une perte de graisse quand tu est déjà à moins de 20% est totalement différente de celle d'un obèse. Je l'ai pourtant clairement stipulé. Ne sais-tu point lire?
Je ne parle pas non plus de leur entraînement physique.
Je ne dis pas non plus qu'il faut faire que du fractionné
Non mais GO LIRE ce que j'écris avant de dire nimp' lowl.

..et le rouge ça te rend agressif, ça ne te va pas du tout.
Ca serai bien que tu ne répondes pas à coté de la plaque et d'éviter les taunts malvenus dans ce genre de débat sérieux

je te cite

"Une personne appliquant ta méthode se retrouve en fin de séance avec un corps légèrement stimulé bien que les muscles soient fatigués. Il n'y a quasiment aucune élévation des hormones de stresse ni excitation sympathique"



Décidemment tu ne comprends vraiment pas le problème dans sa globalité.
J'espère qu'un jour tu te décideras à approfondir le sujet...

Ton approche psychologique de la chose est à 100 lieux de la réalité physiologique. C'est pas le tout de ne pas avoir faim encore faut-il être faire une activité physique qui puisse utiliser les acides gras en tant que substrat énergétique ce qui dans ta position ne l'est aucunement. Une séance à haute intensité va certes couper la sensation de faim mais seulement de manière limitée dans le temps!!!! Ce n'est pas ce qui va t'empêcher de manger sur la durée, les hormones ne se diffusent pas à quantité équivalentes durant des heures après l'exercice!!!!

Si c'est pour énoncé un tas de théories comme tu l'as fait pour au final ne garder qu'une approche psychologique de la chose, alors tu as soit raté ton topic, soit raté le titre du topic.

Il devrait s'intituler "Approche Psychologique du régime : conditionnement et sophrologie". Après tout sortir une telle conclusion de ta part en reniant tout le véritable aspect physiologique du problème c'est quand même fort!!
Dans ce cas on tombe dans une approche de type régime et non pas de type sportive.

Pourquoi t'être donné tant de mal pour au final te focaliser sur un point qui est certes intéressant mais seulement TRES TEMPORAIRE. D'autant plus que le point en question dépend énormément de l'aspect émotionnel de l'individu.
Un individu qui sait ce qu"il veut et qui sait se contrôler aura de bien meilleurs résultats à faire un exercice long et modéré d'autant plus que l'augmentation de son activité mitochondriale et l'élévation de son métabolisme de base aura des effets à long terme durant tous les moments de la journée.
Et oui même en dormant l'élèvation du métabolisme de base va lui permettre de brûler petit à petit son lard alors que s'il faisait seulement des séances à plus haute intensité comme seul toi le préconise sur cette terre il n'aurai pas cet avantage.

Je crois qu'au bout du compte tu pourras calculer les valeurs énergétiques dans tous les sens mais à aucun moment ce que tu préconises n'est valable, juste parce que tu considères que l'aspect psychologique est une raison suffisante au succès de l'amaigrissement.

Alors oui je suis d'accord que l'aspect psychologiques est important mais tu oublies que l'aspect hormonal de ta théorie n'a que des tres courts effets dans le temps au regard des 24h composant une journée.




Je te cite une nouvelle fois
Et tes triathlètes ne font pas parti des sujets visés, une perte de graisse quand tu est déjà à moins de 20% est totalement différente de celle d'un obèse

Tu ferais courir un obèse toi?? Hum rassure moi que non!!!??
Quand on est obèse non seulement on a généralement pas le coeur "entraîné" mais en plus un obèse subit de nombreuses contraintes articulaires.C'est direction le vélo ou la natation pour eux.
Et puis généralement ce type de population présente une grande fragilité cardio-vasculaire pour de nombreuses raisons ce qui signifie que les efforts à intensité élevés ne leur conviennent pas du tout car ils risquent l'accident cardio-vasculaire. Voilà encore une autre raison qui tranche en la faveur de séances longues et modérées qui leur permettront par la même occasion de développer harmonieusement les muscles cardiaques,leurs permettant d'assurer leur "espèrance de vie".

Avec ta méthode on est clairement pas dans une optique d'entretien corporel contribuant à maintenir l'individu dans un état de santé sécuritaire. Tu veux nous expliquer que tu veux faire courir des individus non-sportifs , en surpoids voir même obèse à des intensités élevés. Tu crois pas qu'ils vont se dégoûter du sport????? Je leur donne pas 3 séances avant qu'ils baissent les bras,!!
Jolie approche psychologique pour une approche qui se veut comme telle!!!! Moi je me marre!!!!

D'autant plus que tu oublies le désastre physiologique que ça va créé sur l'organisme ces individus non-entraînés. A leur demander à pratiquer à cette intensité tu comptes les tuer sur place?????





Pour finir je te cite encore pour te réfuter d'une manière plus simple si tu ne comprends toujours pas:
"-N'oublies pas que le cerveau est l'ultime responsable de la sensation de faim.
-Que le tissu adipeux est un tissu vivant et actif non pas un tissu mort que l'on devrait réveillé.
-ta méthode se limite à optimiser l'utilisation des graisses sans tenir du contexte hormonal de l'ensemble du corps. "


Bien dans ce cas tu vas m'expliquer par quel tour de passe-passe ces même graisses du tissu adipeux arrivent à être brûlé sans être "réveillés" lorsque tu fais un exercice de longue durée à allure modérée puisque tu considères qu'elles dorment et que c'est seulement à haute intensité que tu les réveilles.
Sachant que TOUT LE MONDE SAIT BIEN(l'ignare et le scientifique) que les exercices modérés et de longues durée permettent l'utilisation des ces lipides via le métabolisme.(preuves encore à l'appui dans ton topic et parmi des centaines de recherches diverses publiées)
J'en déduis donc que tu essaies de me faire dire que la contraction musculaire n'est que le fruit que de l'opération du Saint Esprit car d'après toi il n'y a pas de réveil du tissu adipeux et donc une non utilisation de ceux-ci pour créer de l'ATP nécessaire à la contraction musculaire.




Sur le coup, tu le disais toi même, il faut savoir faire preuve d'humilité, ce n'est pas parce que tu as créé ce topic qu'il faut prétendre connaître la vérité absolue et en l'occurence ce qui te gêne c'est qu"on vienne mettre à jour une certain incompétence de ta part.
Peut-être pas sur tout car tu as écrit pas mal de chose bien aussi. On est pas sur le forum de American Journal of Medecine ou celui de Scandinavian Journal of Medicine & Science in Sports mais c'est pas pour autant que le grand public doit se contenter de n'importe quoi et n'importe comment.

Je ne viendrais plus mettre les pieds sur ton topic si c'est ça qui t'ennuie mais pour pas que le public soit dupe je me suis permis d'intervenir. Ce que tu énonces dans ton post initial est quelquechose que je connais sur le bout des doigts, ayant moi-même analysé "live" ces chiffres à de nombreuses reprises lors de test d'effort de type triangulaire et/ou rectangulaire ainsi que lors de recherches scientifiques diverses.

Maintenant libre au public de prendre parti pour l'un ou l'autre de nous 2 , je pourrais étaler mon CV : ce que je fais dans la vie, mon parcours "scolaire", mon palmarès sportif et mon entourage sportif mais je ne crois pas que ça soit utile au débat et je pense que ça n'a rien à faire dans un forum de "Jeux Videos". Je n'ai d'ailleurs rien à gagner de tout ça, mes compétences sont rémunérées dans ma vie professionnelle et non pas ici.





Sur ce, bonne continuation et bonnes séances pour les autres.Vos chances de succès vont dépendre de votre sérieux, de votre assiduité et du strict respect des allures.

W
C'est sympa de me retourner mes compliments

A nouveau ton approche se limite à une vision de biologie cellulaire.

- Tu sais comme moi que tous nos mouvements quotidiens sont effectués grâce à la consommation des graisses. Elles sont donc en permanence utilisées et ce n'est donc pas le premier but que l'on doit rechercher dans le cadre d'une perte de poids. Stop inventer que j'aurais dit qu'il faut une haute intensité pour les réveiller.

- Tu dis qu'un obèse ne peut pas supporter un effort à 80%. Mais as-tu déjà travaillé avec des patients obèses? Au contraire, leur motivation est renforcée dans la méthode que je propose. Il ne s'agit pas de faire du 80% tous les jours mais 2x par semaine en plus d'endurance de fond. Et justement ils ont l'impression d'enfin travaillé, d'enfin se donner, se surpasser. C'est beaucoup moins ennuyant que de monotones marches à 60%.

- Tu parles de psychologie alors que je te parle de neurologie et d'endocrinologie...ok.

Pourquoi tu ne nous donne pas ton CV? Tu en perles pourtant à chaque poste alors que je n'ai jamais abordé ce sujet. Allé fais toi plaisir.

J'espère quand même que tu reviendras d'ici le week-end prochain que l'on refasse du camping ensemble.
Pour une fois qu'on as un débat intéressant entre deux personnes qui connaisse leur sujet c'est dommage de partir de flame war

Bon j'en profite pour ma question : qu'est-ce que vous pensez du HIT (ou HIIT je sait pu, enfin la méthode de course alterner sprint/trotte, pas le programme de muscu) ?
De mon statut de médecin, certes généraliste et non du sport, mais avec de sérieuses bases en physiologie (j'ai failli me spécialiser là-dedans avant d'y renoncer par intérêt plus important pour la clinique dans sa globalité et non sa particularité), j'avoue que ce que dit W. fait largement plus sens que ce que dit Trajon.

Surtout si on parle d'un modèle bio-psycho-social, comme tu le dis si bien, Trajon. La physiologie humaine est ce qu'elle est, c'est-à-dire, qu'effectivement entre 60 et 80 % de sa VO2max, on va consommer, au bout d'une vingtaine de minutes d'effort, très préférentiellement des lipides, que l'utilisation régulière de cette voie va renforcer sa capacité à être mise en route rapidement et son rendement et qu'il ne faut pas perdre de vue que, grosso modo, elle continue d'être utilisée, à taux certes plus faible mais bien loin d'être négligeable, dans les 12 à 24 heures qui suivent l'exercice sportif (réparation des micro-lésions tissulaires, reconstitution des stocks de glycogène, etc...). Or, plus l'exercice est prolongé, plus cette période est longue et consommatrice de lipides.

Si j'ai bien compris ce que tu décris, c'est qu'en fait, fractionner les séances pour des séquences plus rapides permettrait de diminuer l'effet orexigène du sport (donner faim pour les non-intimes du terme). Peut-être, mais peut-être pas. Autant pour le métabolisme de base et pour le métabolisme d'effort, on n'y peut pas grand chose, autant pour la sensation de faim, l'aspect psychologique est immensément plus puissant que l'aspect physiologique. La faim peut être contrôlée par simple volonté, par changement du régime (en dehors des troubles intestinaux que ça peut engendrer, bouffer 15 tonnes de salade plutôt qu'un saucisson après 10 km de course à pied, ça s'apprend), par entraînement social, etc... Comment crois-tu que les acteurs, pour un rôle, puissent faire si rapidement le yo-yo et de façon saine (j'en ai suivi un pour ça, qui a perdu 13 kg en 5 mois) ? Ils ont la carotte au bout, ils vont faire leur heure voire plus de course à pied tous les jours, stabilisent ou diminuent leurs apports alimentaires, changent la qualité de leur alimentation, etc...

Au final, ta théorie qui voudrait que changer le type d'entraînement pour un moins efficace sur le plan métabolique mais plus efficace sur l'effet indéniable orexigène du sport ne tient pas. La première partie (métabolisme) est bien moins dépendante du psychisme que la deuxième. Ce que tu proposes est donc contraire à la logique : avoir un effet incertain sur la faim (à cause du psychisme prédominant) en sacrifiant l'effet certain sur le métabolisme.

Il vaut mieux donc, et je continuerai donc à conseiller mes patients sur ce point, avoir un entraînement le plus efficace possible en perte de lipides (donc séances progressivement de plus en plus longues, à 60-80 % de la puissance maximale) et jouer sur le côté psycho-social de la faim post-effort plutôt que l'inverse.
Ah, voilà quelqu'un avec qui l'on peut discuter.

Le fait avéré que perdre du poids est surtout un mode de vie a changer est claire. Pas de soucis. C'est d'ailleurs pas étonnant que à 5 ans seul 2% des personnes maintiennent leur poids en dessous du poids initial.
Là je parle de comment faire en sorte que la personne perde plus facilement du poids....soulager le côté psychique et faciliter la perte de calories par le sport.

ATTENTION: je parle à calories totales équivalentes!

Les résultats de l'étude que je montre sont assez probants non? Bon d'accord il ne suffit pas d'une étude, il en faudra plusieurs et des métaanalyses aussi pour avoir une base solide.

Mais ce résultat te semble étonnant?
L'effet sur les graisses:
-quand tu cours lentement, ok tu ne consommes que des graisses. et ensuite tu récupères vite et la faim se fait sentir (que t peux tromper blablabla...un effort psychologique a faire)
-Alors que si sur 5 séances tu en fait 2 à plus de 80%,
1.déjà elles sont plus courtes (40 min au lieu de 60 c'est pas négligeable pour qqn qui n'aime pas le vélo)
2. Tu peux faire une telle séance en sport collectif comme le foot, bref, un grand +++ pour le plaisir.
3. l'activation du sympathique va, en lieu et place d'une faim à combattre, te dégouter de la nourriture. Rendant ainsi la perte de poids plus facile et moins ennuyante.

C'est sûre que c'est un processus à appliquer à des personnes motivées pour le sport. Toutes les personnes ayant testé cette méthode se sont dit surpris en bien et fières d'elles car elles ont repoussé leurs limites au lieu de se sentir rétrogradé à des promenades du dimanche.


Et comme vous voulez tous parler de références, tout ce que je dis représente une petite partie d'un cours de médecine du sport donné par un Professeur de l'Université de Heidelberg. C'était pour lui le message à retenir pour nos futurs patients (même si le fourbe nous a questionné sur la Vo2Max). Après j'ai juste approfondi le sujet par curiosité avec un copain en Sciences du sport, "Master en Activités physiques adaptées et santé" de l'université de Lausanne.
A noter que Heidelberg est l'université la plus réputées d'Allemagne même si leur spécialité est plus le Pancréas et l'endocrinologie que le sport pure.
Tu continues, à mon sens, de sous-estimer grandement l'impact du psychisme sur la faim. Si, malgré l'entraînement que tu décris via des études, dont j'estime ne pas avoir suffisamment de connaissances théoriques pour pouvoir les critiquer (et je les accepte donc, mais avec méfiance), si donc malgré ce super programme, l'individu en question s'enfile 4 repas d'affaires dans la semaine, une biture le week-end et 3 ou 4 cafés gourmands au boulot, sans culpabiliser "parce qu'il fait du sport", ton programme ne sert à rien. Il est même plus délétère sur la perte de poids qu'un programme "classique", parce qu'il est, en soi, moins efficace sur la perte de masse grasse. Le système végétatif, ça doit, dans nos sociétés où la stimulation gustative et olfactive est permanente et où le repas est un acte social, compter pour maximum 20 % de la faim. Le reste, c'est la sécrétion glandulaire rythmée par l'heure des repas, c'est l'offre abondante et de qualité, c'est le côté "échange social", c'est la sacralisation des temps de repas par la société (pause-déjeuner, tickets-restaurants et autres termes...).

D'autre part, l'activation du sympathique, aussi longue soit-elle, entraîne toujours en réaction une activation secondaire du parasympathique, conduisant nécessairement à des fringales encore plus importantes. On ne peut pas vivre en permanence sous catécholamines, à un moment, il y a un rétro contrôle négatif qui s'exerce ou les surrénales sont vidées, etc... Et le rebond parasympathique est d'autant plus important et long que le sympathique a été activé. C'est pour ça, qu'en matière de conseils sportifs en vue de perte de poids, faire d'emblée 3 séances de jogging par semaine ne sert à rien. Au bout de 2 ou 3 semaines à ce rythme, c'est une asthénie intense qui se met en route, avec reprise du poids et méforme physique totale. Résultat : les gens arrêtent pour ne reprendre que plusieurs mois après...

Je reste donc ultra-sceptique sur cette méthode... Quant au fait que ce soit un grand professeur qui l'enseigne... Montaignier est aussi un "grand professeur", ça l'empêche pas de vendre de l'extrait de papaye et autres compléments alimentaires à la con à longueur de publi-informations dans les magazines de nos petits vieux, hein... Nombre d'entre eux sont totalement déconnectés de la réalité clinique...
tout à fait d'accord pour ta dernière remarque,c'est pour ça que je n'ai jamais parlé de CV avant que ça semble si important.

Pour le côté progressif je suis aussi d'accord. Je parle pas de passer de 0 à l'entrainement d'un hockeyeur de NHL.

Pour ton 2ème paragraphe je ne suis pas totalement d'accord. J'ai jamais senti ce rebond aussi longtemps que la perte de poids se fait lentement.
Au contraire j'ai l'impression qu'après du sport violent il y a toute une phase lente de retour au calme durant la quelle tu te sent bien le ventre vide et qui est suivie par une faim lente aussi, car ton corps ne peut pas ingérer un gros repas alors qu'il a été fortement stimulé (personnellement pour prendre de la masse musculaire je recours aux gainers car c'est le meilleur moyen de m'enfiler 800kcal après un gros effort sans avoir mal à l'estomac)

Et pour ton premier paragraphe je ne voit pas en quoi c'est différent avec le classique 50%-70%?

Est-ce que tu pourrais me faire une liste condensée d'arguments en faveur du 50-70 autre que la proportion plus importante de graisse dans la consommation totale? Car vraiment j'ai de la peine à les voire.
Citation :
Publié par TraJon BiancoNero
Et pour ton premier paragraphe je ne voit pas en quoi c'est différent avec le classique 50%-70%?

Est-ce que tu pourrais me faire une liste condensée d'arguments en faveur du 50-70 autre que la proportion plus importante de graisse dans la consommation totale? Car vraiment j'ai de la peine à les voire.
Bah justement, c'est bien ce que j'essaie de t'expliquer. Un des défauts du classique 50-70, c'est de donner faim. Tu proposes donc un programme moins efficace en lui-même sur la perte en graisses, mais qui est potentiellement moins orexigène. Le problème est pour moi dans le "potentiellement". Toi, tu y vois du sûr, moi j'y vois du quasiment pas (parce que la faim est un phénomène éminemment psychologique, etc...). Je préfère donc ne pas prendre le risque d'utiliser un programme moins intense pour y gagner un effet secondaire très hypothétique plutôt qu'un programme plus intense, connu et maîtrisé à fond, dont on connaît les inconvénients mais dont on sait qu'en lui-même, il est largement plus efficace et cohérent.

C'est exactement, comme tu mets sur le marché un nouvel antiépileptique qui traite aussi bien que les anciens datant de plus de 15 ans mais dont le labo te vante qu'il a moins d'effets secondaires, après 1 ou 2 ans d'étude clinique. Bah, même à prix égal, je préfèrerai toujours prescrire l'ancien, sur lequel on a plus de recul et dont on est sûr de ses effets (en bien ou en mal) que le nouveau. Cet exemple dans la vie réelle existe, c'est le Neurontin, vieux médicament vs. Lyrica, nouveau médicament, présenté comme ayant moins d'effets secondaires. Au bout de 5 ans de recul d'utilisation du Lyrica, au final, l'efficacité est bien la même, par contre les effets secondaires sont aussi fréquents chez l'un que chez l'autre... Aucun intérêt donc à prescrire cette nouvelle molécule...
Citation :
Publié par Visionmaster
Bah justement, c'est bien ce que j'essaie de t'expliquer. Un des défauts du classique 50-70, c'est de donner faim. Tu proposes donc un programme moins efficace en lui-même sur la perte en graisses, mais qui est potentiellement moins orexigène. Le problème est pour moi dans le "potentiellement". Toi, tu y vois du sûr, moi j'y vois du quasiment pas (parce que la faim est un phénomène éminemment psychologique, etc...). Je préfère donc ne pas prendre le risque d'utiliser un programme moins intense pour y gagner un effet secondaire très hypothétique plutôt qu'un programme plus intense, connu et maîtrisé à fond,
Ok jusque là je suis totalement d'accord avec toi du point de vue du généraliste.



Citation :
dont on connaît les inconvénients mais dont on sait qu'en lui-même, il est largement plus efficace et cohérent.
Là ta phrase n'a pas de sens. Tu ne peux pas savoir si c'est plus efficace si tu n'as jamais comparé. Et justement je te donne une première étude avec des résultats claires.

Citation :
C'est exactement, comme tu mets sur le marché un nouvel antiépileptique qui traite aussi bien que les anciens datant de plus de 15 ans mais dont le labo te vante qu'il a moins d'effets secondaires, après 1 ou 2 ans d'étude clinique. Bah, même à prix égal, je préfèrerai toujours prescrire l'ancien, sur lequel on a plus de recul et dont on est sûr de ses effets (en bien ou en mal) que le nouveau. Cet exemple dans la vie réelle existe, c'est le Neurontin, vieux médicament vs. Lyrica, nouveau médicament, présenté comme ayant moins d'effets secondaires. Au bout de 5 ans de recul d'utilisation du Lyrica, au final, l'efficacité est bien la même, par contre les effets secondaires sont aussi fréquents chez l'un que chez l'autre... Aucun intérêt donc à prescrire cette nouvelle molécule...
Encore une fois je suis tout à fait d'accord mais tu pourrais aussi prendre l'exemple du paracétamol qui est aujourd'hui reconnu comme l'analgésique / antipyrétique de première ligne face aux autres AINS car il n'a pas leurs effets secondaires...ça peut tourner dans les deux sens.
Exemple médical allant dans le même sens: Le vaccin contre le cancer du col de l'utérus que l'on sait fonctionner au moins 4 ans avec peu d'effets secondaires mais dont l'efficacité et les effets à long terme restent encore à prouver...pourtant il est déjà recommandé par beaucoup de gynécologues (en tous cas en Allemagne et en Suisse).

Donc en temps que généraliste je comprend que tu restes dans l'expectative en attendant plus de données comme il se fait à l'extrême pour les traitements médicamenteux pour la femme enceinte mais tu ne peux pas non plus affirmer que ma théorie est fausse.
Elle est juste plus récente, moins éprouvée et selon les premiers résultats à court terme, plus efficace.
Physiologiquement, le 50-70 est forcément plus efficace en lui-même concernant la perte de masse grasse. Et ce n'est pas 1 étude qui va contredire 130 ans de physiologie humaine... Après, je n'ai rien contre une remise en cause des théories scientifiques, qui ne sont pas des dogmes, mais une seule (ou 2 ou 3), ça paraît léger, surtout quand cette étude ne donne pas d'information franche sur le mécanisme d'action. L'association statistiquement significative est loin d'être synonyme de causalité (exemple à la con : on trouve statistiquement plus de gens habitant le XVIè arrondissement chez les énarques que dans la population française globale. On pourrait en déduire que le fait d'habiter le XVIè de Paris favorise l'entrée à l'ENA. Or, ce n'est pas le cas, c'est ce qui est associé avec qui est causal (culture, éducation, moyens financiers, etc...), pas le fait d'habiter le XVIè en soi).

Comparer le paracétamol et les AINS n'a pas de sens en revanche. D'accord, les 2 sont des médicaments mais ce ne sont absolument pas les mêmes classes thérapeutiques. On ne peut donc pas en attendre les mêmes propriétés. Lyrica / Neurontin, l'un est prodrogue de l'autre, donc, oui, c'est totalement comparable. Mais paracétamol/AINS, c'est comme comparer carottes et pommes de terre au niveau du goût, sous prétexte que tous les 2 sont des légumes.
Mais il faut savoir élargir sa vision et pas rester focalisé sur le fait de consomme de la graisse à court terme.

Après pour de l'Evidence Based Medicin je suis d'accord que c'est encore léger. Il ne faut certes pas prendre cette théorie comme la Sainte parole mais il faut aussi savoir être moderne et tenter différentes approches.
Personnellementje n'ai jamais vu quelqu'un se convertir au sport et revenir dans un BMI inférieur à 25 après avoir fait du 50-70. Mais je n'ai peut-être pas suffisamment d'expérience. A l'inverse j'ai vu des gens reprendre goût au sport en commençant par là du fait du jeu et du sentiment de bien-être et de la non-association de ce bien être avec la faim et la perspective d'un repas "mérité", plutôt celle de ne pas avoir eu envie de manger.

Ma comparaison du paracétamol avec les autres antipyrétiques est pertinente du fait que bien que connu depuis la fin du 19ème siècle, il a fallut attendre plus de 50 ans avant qu'il soit commercialisé...combien de mort dues aux AINS auraient pues être évitées? A l'inverse de ton exemple il est parfois bon d'être moderne même si toutes les garanties ne sont pas là, ici les risque encourus sont tèrs faibles. La méthode que je décrit est une alternative réfléchie, cohérente et dont la Balance Bénéfices potentiels / Risques encourus penche clairement en faveur des bénéfices.
Je ne vois pas ce qui empêcherait un clinicien d'en discuter avec son patient comme d'une alternative.
Fits particulièrement aux anciens amateurs de sport suffisamment jeunes et motivés pour se remettre sérieusement au sport, qui plus est aux sports d'équipe.
Citation :
Publié par TraJon BiancoNero
Ma comparaison du paracétamol avec les autres antipyrétiques est pertinente du fait que bien que connu depuis la fin du 19ème siècle, il a fallut attendre 100 ans avant qu'il soit commercialisé....
même si je comprends le sens de ta comparaison... 100 ans me parait un poil exagéré
Bis repetita ^^

Citation :
Publié par Pepita
Bon j'en profite pour ma question : qu'est-ce que vous pensez du HIT (ou HIIT je sait pu, enfin la méthode de course alterner sprint/trotte, pas le programme de muscu) ?

Edit : Merci pour le début de réponse, je cadre un peu plus ma question alors, que pensez vous du HIIT dans le cadre d'une seche/régime, et ayant donc pour but une perte de graisse.
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